Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
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Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Shaman Débutant Inscrit le: 03 Juil 2007 Messages: 7 Sexe: Je ne sais pas |
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Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
wallypat Débutant Inscrit le: 02 Juil 2007 Messages: 7 Sexe: Je ne sais pas |
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Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Olivier92 Débutant Inscrit le: 27 Juil 2007 Messages: 21 Sexe: Je ne sais pas |
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Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Fleur de Diamant Modérateur Inscrit le: 01 Juil 2007 Messages: 4368 Localisation: FRANCE - 66 Sexe: Femme |
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Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Fleur de Diamant Modérateur Inscrit le: 01 Juil 2007 Messages: 4368 Localisation: FRANCE - 66 Sexe: Femme |
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Cassiopée- Messages : 1121
Date d'inscription : 28/04/2009
Re: Le SIDA créé accidentellement par l'homme ?
Pourquoi les autorités imposent-elles par la force l'idée que
* Le sida est une (seule) maladie ?
* Causée par un seul virus : le rétrovirus V.I.H. (Virus d'Immunodéficience Humaine) ?
* Transmise sexuellement ?
* Traitée par des médicaments antirétroviraux : de puissants immunodépresseurs, comme l'AZT, qui précipitent le sida ?
* Prévenue par les mesures du "safe-sex " ?
Pourquoi les autorités persistent elles à ne pas reconnaître que la
théorie du "V.I.H. seulement" comme cause du sida, en dépit des fortes
oppositions à ce concept de la part de :
* Nombreux scientifiques comme Peter Duesberg de l'Université de
Californie, Berkeley, en tête. Un des premiers virologue à étudier les
rétrovirus (classe du V.I.H.), ses travaux lui ont valu d'être élu
membre de l'Académie Nationale des Sciences (National Academy of
Sciences) . Cette prise de position contre l'establishment médical lui
a valu le discrédit auprès de la profession et la perte de fonds pour
ses recherches.
* Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur, l'inventeur officiel du
virus V.I.H. en 1983. Depuis 1990, il affirme que le V.I.H. seul ne
suffit pas à causer le sida.
* L'évidence de nombreux cas de sida sans virus V.I.H. et de nombreux cas de virus V.I.H. sans sida.
* L'impossibilité du virus unique comme cause unique, car on compte
plusieurs types de V.I.H., suite à la mutation du virus V.I.H.
* L'impossibilité de démontrer que le virus V.I.H. cause le sida.
C'est pourtant une règle spécifique élémentaire pour rétablir une
relation de cause à effet entre deux facteurs.
* Le V.I.H. est un rétrovirus inoffensif. Il ne peut être activé
que lorsque le système de défense est affaibli. De plus, il ne peut à
lui seul détruire le système immunitaire. Duesberg l'appelle "le petit
minou" (pussy-cat) . Montagnier dit qu'il a besoin d'autres facteurs avec lui... Il semble bien loin du rôle de gros méchant loup qu'on lui prête.
* Lauritzen, analyste en recherche de sondage et auteur du livre Poison
by prescription - The AZT Story qui fait la démonstration que la fraude
entourant la recherche, de l'acceptation du produit par le food and
drug et de l'usage honteux de l'AZT. Ce médicament est inefficace et
dangereux. De plus, il cause le cancer.
* La violente dénonciation de mensonge et de fraude dans le
pratique officielle du traitement du sida. Patients, thérapeutes et
journalistes blâmèrent l'establishment médical avec fureur au Congrès
d'Amsterdam. Les "survivants" réclamaient le droit à la vérité et à la
vie.
LE VIRUS BOUC ÉMISSAIRE
Comme on ne peut répondre des intentions des gens, on ne peut
répondre à la question : pourquoi les autorités s'acharnent-elles à
tuer les gens ? On peut toutefois, envisager les conséquences de la
théorie du "V.I.H. seulement". Elles sont les suivantes :
1. On trouve enfin le coupable du sida, le virus V.I.H.
C'est bien plus pratique et payant de faire la guerre à un virus
avec des médicaments que de régler les problèmes sociopolitiques de
drogue, malnutrition, soumission, désespoir... et de stopper la
vaccination et les médicaments.
De plus, en donnant le même nom au virus et à la maladie, on
amenait une confusion totale permettant de les utiliser indifféremment
l'un pour l'autre.
2. On trouve aussi des responsables de l'épidémie : les
homosexuels. La terminologie "épidémie gay" passe mieux que "épidémie
vaccinale". Ainsi, on tait les vaccins expérimentaux anti-hépatite B
qu'ont reçus les groupes homosexuels ciblés avant de développer leur
maladie, empêchant, par ce silence, qu'on puisse établir un lien de
cause à effet.
De plus, on réduit ainsi le sida à une vulgaire M.T.S. (maladie
transmise sexuellement), alors qu'il s'agit en réalité en réalité de
plusieurs maladies résultant d'une déficience immunitaire.
3. On trouve le traitement : contre un virus, on donne un
traitement antiviral, l'AZT, qui rapporte plusieurs centaines de
millions de dollars à ses fabricants (682 $ millions en 1991)
4. On trouve la prévention : le safe-sex et ses condoms. On est
puni par là où l'on a péché... la morale est sauve... et les vaccins
aussi.
5. On trouve l'explication pour la disparition des peuples Afrique
: la promiscuité cause la transmission sexuelle du virus qui diffuse la
maladie et fait mourir tout
le monde. C'est certes plus commode comme réponse que d'avouer que la
Banque Mondiale les appauvrit et que l'Unicef les vaccine...
6. On trouve un test de dépistage extrêmement lucratif. A un point
tel que la France et les U.S.A. se sont battus pendant quelques années
pour savoir qui des deux encaisseraient les royalties .
7. On trouve un tout
nouveau sujet de recherche dans lequel on engloutit des milliards de
dollars. Mais on cherche quoi, au fait ? Imaginons la réponse... un
VACCIN antisida ! Un vaccin pour combattre les virus d'autres vaccins !
8. On trouve un nouvel outils efficace et subtil d'éradication de
la population surtout chez les pauvres et les non-blancs. Cette
politique n'est pas exclusive aux pays surpeuplés du Tiers-Monde. Elle
s'applique également aux pays industrialisés. Dans son programme Agenda
for the Eighties, la Commission Trilatérale (gouvernement mondial) a
convenu que la population souhaitable, pour les U.S.A., serait de 100
millions de personnes...
9. On trouve une façon de limiter les droit à la vie privée des
personnes. Sous prétexte que "le bien public l'exige", on divulgue les
noms des personnes séropositives (en parfaite santé) et malades d'une
ou plusieurs maladies du sida. On les déclare, on les fiche et... qu'en
fera-t-on?... Les études de "séroprévalence", pour utiliser des termes
épidémiologiques, constituent un viol des droits fondamentaux de la
personne et ouvrent la porte toute grande à une autre forme de génocide
ou d'exclusion "d'indésirables". Comme par hasard, ce sont les noirs et
les pauvres qui sont le plus atteints...
L'origine du rétrovirus V.I.H.
Le V.I.H. fut officiellement "découvert " en 1983.
Or, certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont
fait d'étonnantes découvertes qui es ont amenées à conclure que le
V.I.H. était une pure création de laboratoire et non la découverte d'un
virus déjà existant.
1. En 1982, Robert Harris et Jeremy Paxman publiaient un livre
intitulé A Higher Form Of Killing - The Secret Story Of Chemical And
Biological Warfare sur les secrets de la guerre biologique et chimique.
Ils y dénonçaient des expérimentations humaines secrètes conduites par
l'armée et la C.I.A. pendant les années 1950. Ils révélaient aussi les
travaux faits au département de guerre biologique de l'armée à Fort
Detrik.
2. En 1985, Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur
en pharmacologie, a conclu que le sida avait été délibérément provoqué
- soit volontairement soit involontairement - par le biais des essais
de vaccination contre l'hépatite B sur les homosexuels. Il est
également convaincu que le continent africain a été contaminé de la
même façon, au moment des campagnes de vaccination contre la variole,
pour étudier, à la demande de l'O.M.S., les effets de certaines
bactéries et de certains virus. Il explique que le V.I.H. ne peut venir
de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait
le résultat d'un clonage de virus d'animaux qui, inoculé chez l'humain,
a provoqué une nouvelle maladie.
Strecker a rédigé une plaquette, Bio-Attack , et réalisé une vidéo.
3. En 1987, Alan Cantwell Jr. médecin dermatologue et chercheur,
arrive sensiblement aux mêmes conclusions dans son livre AIDS And The
Doctors Of Death.
4. En 1987, Rolande Girard, journaliste, parle des armes ethniques dans son livre: Tristes chimères.
EN 1987, L'O.M.S. DÉCLARAIT OFFICIELLEMENT QUE
"LE V.I.H. EST UN VIRUS NATUREL
D'ORIGINE GÉOGRAPHIQUE INCONNUE".
5. En 1992, Eva Lee Snead, médecin holistique et chercheuse écrit
deux volumes intitulés Some Call It AIDS.. I Call It Murder - The
Connection Between Cancer, AIDS, Immunizations, And Genocide. Elle
rétablit la ressemblance des syndromes cliniques du V.I.H. , et ceux du
SV 40 des singes verts d'Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains
individus. La seule façon dont un humain peut attraper du SV 40 de
singe, c'est par ingestion (en mangeant sa viande) ou en se le faisant
inoculer en même temps qu'un vaccin. On a également retrouvé ce même SV
40 dans le vaccin Sabin contre la polio ("la soupe de singe" Sabin )
avec lequel on a vacciné des millions d'enfants pendant des années. Or
on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des
leucémies, des cancers, une grave immunosupression : des symptômes
semblables à ceux du sida. Le Dr. Snead a montré les relations existant
entre les LEUCÉMIES, le SV 40 et le sida. Pour elle, le sida n'est
qu'une forme de leucémie.
Elle démontre la responsabilité des vaccins dans l'apparition du sida et dans l'accroissement des leucémies et des cancers.
LA SAGA DU SIDA
Pour la suivre, rappelons ici quelques dates.
1952. Réunion à huit clos à Ottawa de chercheurs américains, britanniques et canadiens sur les rétrovirus.
1959. L'O.M.S. dénonce les dangers de l'utilisation des vaccins fabriqués à partir du matériel biologique des singes.
1960. L'O.M.S. signale la présence, dans les vaccins, de virus inattendus et indésirables.
1960. On identifie la présence du virus SV 40 dans les cultures de
cellules du singe vert d'Afrique et on prend conscience que LE SV 40
ÉTAIT PRÉSENT DANS LA PLUPART DES VACCINS ANTIPOLIO A VIRUS VIVANTS
FABRIQUES AVANT CETTE DATE.
1961. La vaccination par virus vivant commence.
1963. On signale un virus tumorigène (qui cause des tumeurs) provenant d'un singe.
1963. On rapporte que le nombre de leucémies a augmenté dans les
états où le vaccin antipolio contenant le SV 40 a été administré.
1963. Début, à Fort Detrick, d'un programme de recherche
biologiques patronné par la C.I.A. (Central Intelligence Agency) et la
U.S.Army . Fort Detrick, dans le Maryland, est rattaché à l'Institut
National du Cancer (N.C.I. - National Cancer Institute), situé à
Bethesda, tout près de Washington, la capitale.
1964. Découverte de la présence de virus SV 40 chez des enfants préalablement vaccinés contre la polio par le vaccin Sabin.
1964. Constatation que les virus de vaccins (à virus vivants) donnent
des maladies malignes. LES PROBLEMES SUIVANTS SE MANIFESTAIENT DE PLUS
EN PLUS DANS LA POPULATION :
1. déficiences du système immunitaire ;
2. anomalies congénitales ;
3. leucémies ;
4. maladies malignes chez les jeunes enfants.
1968 Les virologues américains installent leur matériel sophistiqué au Za re.
1969 Nixon annonce son intention de suspendre la fabrication des armes biologiques et de faire détruire les anciens stocks.
1969 Début d'une forte relance de la recherche sur le cancer. Les
rétrovirus sont à l'honneur car on sait qu'ils causent des cancers chez
les animaux. Pourquoi pas aussi chez les hommes ? On réussit rapidement
à cultiver ces rétrovirus sur la cellule humaine. On sait cancériser
des cellules humaines. On sait fabriquer le cancer.
1970 L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) et le N.I.H.
(National Institute of Health ) décident d'injecter des virus et des
bactéries à des enfants, à l'occasion de campagnes de vaccinations,
pour mener une étude.
1971 Démonstration que le SV 40 cancérise les cellules de souris.
1972 L'O.M.S. transforme l'étude de 1970 en une étude sur les virus
qui provoquent un affaiblissement de la fonction immunitaire.
1973 Berg et autres grands de la biochimie exposent les principes
généraux d'une nouvelle science : l'ingénierie génétique est née.
1973 Isolation d'un nouveau rétrovirus : le BVV (virus du visna bovin).
1974 On réussit la transmission héréditaire d'un gène étranger.
1975 Galo, chercheur américain, annonce la découverte du HTLV et
déclare que ce virus déclenchait des leucémies dans certains groupes de
population.
1977 Premiers cas d'immunodéficience acquise chez une femme médecin
d'Afrique, puis nombreux cas chez les Noirs, les Haïtiens, les drogués,
les hémophiles.
1978 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels de New York.
1980 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels dans cinq autres villes américaines.
1980 Apparition de cas de pus en plus nombreux d'immunodéficience qui n'entraient dans aucun cadre préexistant.
1981 Début officiel de l'épidémie du sida.
1983 Découverte officielle d'un rétrovirus que l'on tient
responsable du sida. On l'appelle du même nom que la maladie : V.I.H.,
c'est-à-dire Virus d'Immunodéficience Humaine.
1992 "MALGRÉ LES DIX ANNÉES DE LA RECHERCHE A PLUS INTENSE ET LA
PLUS COUTEUSE QUI AIT JAMAIS ÉTÉ FAITE SUR UNE MEME MALADIE, NOUS NE
FAISONS QUE COMMENCER A RÉALISER COMBIEN PEU NOUS SAVONS SUR LE SIDA.
L'ASPECT LE PUS INQUIÉTANT DE CETTE CONSTATATION, C'EST LA POSSIBILITÉ
QUE NOTRE IGNORANCE RÉSULTE EN GRANDE PARTIE DE LA FOI TROP GRANDE QUE
NOUS AVONS ACCORDÉE A LA THÉORIE DU V.I.H., ET DE L'ATTENTION
INSUFFISANTE QUE NOUS AVONS PRETEE A SA CRITIQUE. DE PLUS CHAQUE ANNÉE
VOIT SE RENFORCER CEUX QUI PROCLAMENT QUE LE V.I.H. SEUL NE PEUT CAUSER
LE SIDA, ET QUE, PAR CONSÉQUENT, LE CONTROLE DU SIDA DOIT PORTER SUR
AUTRE CHOSE QUE LES VACCINS, LES MÉDICAMENTS ET LES POLITIQUES
PUBLIQUES VISANT LE V.I.H.".
- Robert Root-Bernstein, biochimiste et immunologiste, professeur de physiologie, Université du Michigan
Extrait de"La Mafia Médicale" de Guylaine Lanctot.
Source ici
_________________
J'espère qu'un jour tous les êtres s'aimeront
Ce que tu donnes est à toi, mais ne fais pas à l'autre ce que tu ne veux pas qu'on te fasse.
* Le sida est une (seule) maladie ?
* Causée par un seul virus : le rétrovirus V.I.H. (Virus d'Immunodéficience Humaine) ?
* Transmise sexuellement ?
* Traitée par des médicaments antirétroviraux : de puissants immunodépresseurs, comme l'AZT, qui précipitent le sida ?
* Prévenue par les mesures du "safe-sex " ?
Pourquoi les autorités persistent elles à ne pas reconnaître que la
théorie du "V.I.H. seulement" comme cause du sida, en dépit des fortes
oppositions à ce concept de la part de :
* Nombreux scientifiques comme Peter Duesberg de l'Université de
Californie, Berkeley, en tête. Un des premiers virologue à étudier les
rétrovirus (classe du V.I.H.), ses travaux lui ont valu d'être élu
membre de l'Académie Nationale des Sciences (National Academy of
Sciences) . Cette prise de position contre l'establishment médical lui
a valu le discrédit auprès de la profession et la perte de fonds pour
ses recherches.
* Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur, l'inventeur officiel du
virus V.I.H. en 1983. Depuis 1990, il affirme que le V.I.H. seul ne
suffit pas à causer le sida.
* L'évidence de nombreux cas de sida sans virus V.I.H. et de nombreux cas de virus V.I.H. sans sida.
* L'impossibilité du virus unique comme cause unique, car on compte
plusieurs types de V.I.H., suite à la mutation du virus V.I.H.
* L'impossibilité de démontrer que le virus V.I.H. cause le sida.
C'est pourtant une règle spécifique élémentaire pour rétablir une
relation de cause à effet entre deux facteurs.
* Le V.I.H. est un rétrovirus inoffensif. Il ne peut être activé
que lorsque le système de défense est affaibli. De plus, il ne peut à
lui seul détruire le système immunitaire. Duesberg l'appelle "le petit
minou" (pussy-cat) . Montagnier dit qu'il a besoin d'autres facteurs avec lui... Il semble bien loin du rôle de gros méchant loup qu'on lui prête.
* Lauritzen, analyste en recherche de sondage et auteur du livre Poison
by prescription - The AZT Story qui fait la démonstration que la fraude
entourant la recherche, de l'acceptation du produit par le food and
drug et de l'usage honteux de l'AZT. Ce médicament est inefficace et
dangereux. De plus, il cause le cancer.
* La violente dénonciation de mensonge et de fraude dans le
pratique officielle du traitement du sida. Patients, thérapeutes et
journalistes blâmèrent l'establishment médical avec fureur au Congrès
d'Amsterdam. Les "survivants" réclamaient le droit à la vérité et à la
vie.
LE VIRUS BOUC ÉMISSAIRE
Comme on ne peut répondre des intentions des gens, on ne peut
répondre à la question : pourquoi les autorités s'acharnent-elles à
tuer les gens ? On peut toutefois, envisager les conséquences de la
théorie du "V.I.H. seulement". Elles sont les suivantes :
1. On trouve enfin le coupable du sida, le virus V.I.H.
C'est bien plus pratique et payant de faire la guerre à un virus
avec des médicaments que de régler les problèmes sociopolitiques de
drogue, malnutrition, soumission, désespoir... et de stopper la
vaccination et les médicaments.
De plus, en donnant le même nom au virus et à la maladie, on
amenait une confusion totale permettant de les utiliser indifféremment
l'un pour l'autre.
2. On trouve aussi des responsables de l'épidémie : les
homosexuels. La terminologie "épidémie gay" passe mieux que "épidémie
vaccinale". Ainsi, on tait les vaccins expérimentaux anti-hépatite B
qu'ont reçus les groupes homosexuels ciblés avant de développer leur
maladie, empêchant, par ce silence, qu'on puisse établir un lien de
cause à effet.
De plus, on réduit ainsi le sida à une vulgaire M.T.S. (maladie
transmise sexuellement), alors qu'il s'agit en réalité en réalité de
plusieurs maladies résultant d'une déficience immunitaire.
3. On trouve le traitement : contre un virus, on donne un
traitement antiviral, l'AZT, qui rapporte plusieurs centaines de
millions de dollars à ses fabricants (682 $ millions en 1991)
4. On trouve la prévention : le safe-sex et ses condoms. On est
puni par là où l'on a péché... la morale est sauve... et les vaccins
aussi.
5. On trouve l'explication pour la disparition des peuples Afrique
: la promiscuité cause la transmission sexuelle du virus qui diffuse la
maladie et fait mourir tout
le monde. C'est certes plus commode comme réponse que d'avouer que la
Banque Mondiale les appauvrit et que l'Unicef les vaccine...
6. On trouve un test de dépistage extrêmement lucratif. A un point
tel que la France et les U.S.A. se sont battus pendant quelques années
pour savoir qui des deux encaisseraient les royalties .
7. On trouve un tout
nouveau sujet de recherche dans lequel on engloutit des milliards de
dollars. Mais on cherche quoi, au fait ? Imaginons la réponse... un
VACCIN antisida ! Un vaccin pour combattre les virus d'autres vaccins !
8. On trouve un nouvel outils efficace et subtil d'éradication de
la population surtout chez les pauvres et les non-blancs. Cette
politique n'est pas exclusive aux pays surpeuplés du Tiers-Monde. Elle
s'applique également aux pays industrialisés. Dans son programme Agenda
for the Eighties, la Commission Trilatérale (gouvernement mondial) a
convenu que la population souhaitable, pour les U.S.A., serait de 100
millions de personnes...
9. On trouve une façon de limiter les droit à la vie privée des
personnes. Sous prétexte que "le bien public l'exige", on divulgue les
noms des personnes séropositives (en parfaite santé) et malades d'une
ou plusieurs maladies du sida. On les déclare, on les fiche et... qu'en
fera-t-on?... Les études de "séroprévalence", pour utiliser des termes
épidémiologiques, constituent un viol des droits fondamentaux de la
personne et ouvrent la porte toute grande à une autre forme de génocide
ou d'exclusion "d'indésirables". Comme par hasard, ce sont les noirs et
les pauvres qui sont le plus atteints...
L'origine du rétrovirus V.I.H.
Le V.I.H. fut officiellement "découvert " en 1983.
Or, certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont
fait d'étonnantes découvertes qui es ont amenées à conclure que le
V.I.H. était une pure création de laboratoire et non la découverte d'un
virus déjà existant.
1. En 1982, Robert Harris et Jeremy Paxman publiaient un livre
intitulé A Higher Form Of Killing - The Secret Story Of Chemical And
Biological Warfare sur les secrets de la guerre biologique et chimique.
Ils y dénonçaient des expérimentations humaines secrètes conduites par
l'armée et la C.I.A. pendant les années 1950. Ils révélaient aussi les
travaux faits au département de guerre biologique de l'armée à Fort
Detrik.
2. En 1985, Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur
en pharmacologie, a conclu que le sida avait été délibérément provoqué
- soit volontairement soit involontairement - par le biais des essais
de vaccination contre l'hépatite B sur les homosexuels. Il est
également convaincu que le continent africain a été contaminé de la
même façon, au moment des campagnes de vaccination contre la variole,
pour étudier, à la demande de l'O.M.S., les effets de certaines
bactéries et de certains virus. Il explique que le V.I.H. ne peut venir
de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait
le résultat d'un clonage de virus d'animaux qui, inoculé chez l'humain,
a provoqué une nouvelle maladie.
Strecker a rédigé une plaquette, Bio-Attack , et réalisé une vidéo.
3. En 1987, Alan Cantwell Jr. médecin dermatologue et chercheur,
arrive sensiblement aux mêmes conclusions dans son livre AIDS And The
Doctors Of Death.
4. En 1987, Rolande Girard, journaliste, parle des armes ethniques dans son livre: Tristes chimères.
EN 1987, L'O.M.S. DÉCLARAIT OFFICIELLEMENT QUE
"LE V.I.H. EST UN VIRUS NATUREL
D'ORIGINE GÉOGRAPHIQUE INCONNUE".
5. En 1992, Eva Lee Snead, médecin holistique et chercheuse écrit
deux volumes intitulés Some Call It AIDS.. I Call It Murder - The
Connection Between Cancer, AIDS, Immunizations, And Genocide. Elle
rétablit la ressemblance des syndromes cliniques du V.I.H. , et ceux du
SV 40 des singes verts d'Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains
individus. La seule façon dont un humain peut attraper du SV 40 de
singe, c'est par ingestion (en mangeant sa viande) ou en se le faisant
inoculer en même temps qu'un vaccin. On a également retrouvé ce même SV
40 dans le vaccin Sabin contre la polio ("la soupe de singe" Sabin )
avec lequel on a vacciné des millions d'enfants pendant des années. Or
on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des
leucémies, des cancers, une grave immunosupression : des symptômes
semblables à ceux du sida. Le Dr. Snead a montré les relations existant
entre les LEUCÉMIES, le SV 40 et le sida. Pour elle, le sida n'est
qu'une forme de leucémie.
Elle démontre la responsabilité des vaccins dans l'apparition du sida et dans l'accroissement des leucémies et des cancers.
LA SAGA DU SIDA
Pour la suivre, rappelons ici quelques dates.
1952. Réunion à huit clos à Ottawa de chercheurs américains, britanniques et canadiens sur les rétrovirus.
1959. L'O.M.S. dénonce les dangers de l'utilisation des vaccins fabriqués à partir du matériel biologique des singes.
1960. L'O.M.S. signale la présence, dans les vaccins, de virus inattendus et indésirables.
1960. On identifie la présence du virus SV 40 dans les cultures de
cellules du singe vert d'Afrique et on prend conscience que LE SV 40
ÉTAIT PRÉSENT DANS LA PLUPART DES VACCINS ANTIPOLIO A VIRUS VIVANTS
FABRIQUES AVANT CETTE DATE.
1961. La vaccination par virus vivant commence.
1963. On signale un virus tumorigène (qui cause des tumeurs) provenant d'un singe.
1963. On rapporte que le nombre de leucémies a augmenté dans les
états où le vaccin antipolio contenant le SV 40 a été administré.
1963. Début, à Fort Detrick, d'un programme de recherche
biologiques patronné par la C.I.A. (Central Intelligence Agency) et la
U.S.Army . Fort Detrick, dans le Maryland, est rattaché à l'Institut
National du Cancer (N.C.I. - National Cancer Institute), situé à
Bethesda, tout près de Washington, la capitale.
1964. Découverte de la présence de virus SV 40 chez des enfants préalablement vaccinés contre la polio par le vaccin Sabin.
1964. Constatation que les virus de vaccins (à virus vivants) donnent
des maladies malignes. LES PROBLEMES SUIVANTS SE MANIFESTAIENT DE PLUS
EN PLUS DANS LA POPULATION :
1. déficiences du système immunitaire ;
2. anomalies congénitales ;
3. leucémies ;
4. maladies malignes chez les jeunes enfants.
1968 Les virologues américains installent leur matériel sophistiqué au Za re.
1969 Nixon annonce son intention de suspendre la fabrication des armes biologiques et de faire détruire les anciens stocks.
1969 Début d'une forte relance de la recherche sur le cancer. Les
rétrovirus sont à l'honneur car on sait qu'ils causent des cancers chez
les animaux. Pourquoi pas aussi chez les hommes ? On réussit rapidement
à cultiver ces rétrovirus sur la cellule humaine. On sait cancériser
des cellules humaines. On sait fabriquer le cancer.
1970 L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) et le N.I.H.
(National Institute of Health ) décident d'injecter des virus et des
bactéries à des enfants, à l'occasion de campagnes de vaccinations,
pour mener une étude.
1971 Démonstration que le SV 40 cancérise les cellules de souris.
1972 L'O.M.S. transforme l'étude de 1970 en une étude sur les virus
qui provoquent un affaiblissement de la fonction immunitaire.
1973 Berg et autres grands de la biochimie exposent les principes
généraux d'une nouvelle science : l'ingénierie génétique est née.
1973 Isolation d'un nouveau rétrovirus : le BVV (virus du visna bovin).
1974 On réussit la transmission héréditaire d'un gène étranger.
1975 Galo, chercheur américain, annonce la découverte du HTLV et
déclare que ce virus déclenchait des leucémies dans certains groupes de
population.
1977 Premiers cas d'immunodéficience acquise chez une femme médecin
d'Afrique, puis nombreux cas chez les Noirs, les Haïtiens, les drogués,
les hémophiles.
1978 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels de New York.
1980 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels dans cinq autres villes américaines.
1980 Apparition de cas de pus en plus nombreux d'immunodéficience qui n'entraient dans aucun cadre préexistant.
1981 Début officiel de l'épidémie du sida.
1983 Découverte officielle d'un rétrovirus que l'on tient
responsable du sida. On l'appelle du même nom que la maladie : V.I.H.,
c'est-à-dire Virus d'Immunodéficience Humaine.
1992 "MALGRÉ LES DIX ANNÉES DE LA RECHERCHE A PLUS INTENSE ET LA
PLUS COUTEUSE QUI AIT JAMAIS ÉTÉ FAITE SUR UNE MEME MALADIE, NOUS NE
FAISONS QUE COMMENCER A RÉALISER COMBIEN PEU NOUS SAVONS SUR LE SIDA.
L'ASPECT LE PUS INQUIÉTANT DE CETTE CONSTATATION, C'EST LA POSSIBILITÉ
QUE NOTRE IGNORANCE RÉSULTE EN GRANDE PARTIE DE LA FOI TROP GRANDE QUE
NOUS AVONS ACCORDÉE A LA THÉORIE DU V.I.H., ET DE L'ATTENTION
INSUFFISANTE QUE NOUS AVONS PRETEE A SA CRITIQUE. DE PLUS CHAQUE ANNÉE
VOIT SE RENFORCER CEUX QUI PROCLAMENT QUE LE V.I.H. SEUL NE PEUT CAUSER
LE SIDA, ET QUE, PAR CONSÉQUENT, LE CONTROLE DU SIDA DOIT PORTER SUR
AUTRE CHOSE QUE LES VACCINS, LES MÉDICAMENTS ET LES POLITIQUES
PUBLIQUES VISANT LE V.I.H.".
- Robert Root-Bernstein, biochimiste et immunologiste, professeur de physiologie, Université du Michigan
Extrait de"La Mafia Médicale" de Guylaine Lanctot.
Source ici
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J'espère qu'un jour tous les êtres s'aimeront
Ce que tu donnes est à toi, mais ne fais pas à l'autre ce que tu ne veux pas qu'on te fasse.
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Archivage OVDT2 :: Santé :: Sida/HIV
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