symphonie Invité
Sexe: Femme
| Posté le: Mar Mai 06, 2008 9:51 am Sujet du message: | | |
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"... Le bébé fabrique de la réinine jusqu'à l'âge de trois ans. Au-delà de cet âge, si nous le forçons à boire du lait de vache après son sevrage, son organisme se verra forcé de fabriquer de la présure (lactase) pour digérer un aliment qui ne lui est donc pas nécessaire, au détriment des autres fonctions organiques. La présence de la lactase dans l'intestin est responsable de gaz et de ballonnements.
Les Africains possèdent très peu d'enzymes (réinine) pour digérer le lait de vache. Ils sont donc plus exposés que les Occidentaux à des dérèglements digestifs aux conséquences fâcheuses. Le lait de vache et ses sous-produits ( fromage, yaourt; beurre) sont contre-indiqués dans les pays tropicaux
Dans les cahiers de la nutrition «Médecine officielle», il est noté que des chercheurs ont découvert dans le lait de vache une molécule hautement toxique pour l'homme. Des recherches ont été effectuées afin de retirer cette molécule du lait, au lieu d'en retirer tout simplement la vente.
Avec tous ses divers procédés de pasteurisation, d'homogénéisation et de stérilisation UHT, le lait de vache perd ce qui, à la rigueur, pourrait nous aider à nous débarrasser assez vite de cette molécule toxique, c'est-à-dire ses enzymes. (...)
(...) Sous la chaleur des divers procédés de longue conservation et de protection, le lait de vache se défait de ses enzymes qui sont tous très sensibles et dont la survie est nulle à haute température..
Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu'on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s'éclaircissent (c'est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement, conséquence d'une intolérance au lait de vache, troublant la fonction stomacale ou biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées. Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité.
La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s'adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique. Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront Le premier signal d'alarme se tait. On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien. C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.
L'encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.
A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.
La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d'attention, de vision, s'ajoutant aux fatigues et nervosité.
A l'âgé adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.
Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.
Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en ites, se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en oses (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).
Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s'est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.
Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée.
A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.
Si malgré cela, l'adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d'acide lactique qui en trop grand quantité dans l'organisme, deviendra toxique. En effet, une élévation de l'acide lactique au niveau cellulaire engendre une prolifération de cellules qui n'atteindront pas leur maturité, (la quantité détruit la qualité) et seront incapables de capter l'oxygène et d'éliminer les déchets.
Les troubles de santé par l'apport quotidien de lait de vache sont nombreux : les maladies cardio-vasculaires, les inflammations, les allergies, les syndromes de mort subite chez le jeune enfant, les troubles nerveux mineurs et la schizophrénie.
Roland Fietta, naturopathe, prêtend que le lait de vache proyoque des obésités, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. En cas d'otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages.
Le Docteur Comet rend le lait responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.
Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).
Dans la «Médecine végétale illustrée», du Docteur A Narodetzki, nous trouvons dans la rubrique lait de vache cette information : «le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans.l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs».
Source : Anne Laroche-Walter, naturopathe : LE LAIT DE VACHE, UN ALIMENT NON SPECIFIQUE A L'HOMME
Bien entendu, les annonceurs publicitaires se garderont bien de vous informer de ce qui précède. Faites vous-même l'expérience de compter quelle est la proportion de messages publicitaires diffusés pour l'industrie laitière sur une chaîne commerciale. Je n'exagérerai pas en disant 20 à 25 % ! "Le lait est un produit qui bénéficie d'un lobbying intense relayé par les scientifiques et les médecins." (Martine Laganier)
Il peuvent encore vous dire longtemps qu'il est riche en calcium, mais celui contenu dans le lait de vache ne peut être correctement assimilé par l'être humain.
Les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l'information nécessaire à l'élaboration de l'osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l'être humain.
C'est pourquoi le bébé, l'enfant, ou l'adulte, auront très peu d'osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive.
La trop grande richesse en calcium du lait de vache le rend dangereux, car outre les indurations qu'elle entraîne, par manque d'osséine, elle inhibe presque totalement l'action du magnésium, affaiblissant ainsi les cellules nerveuses et musculaires.
Le lait de vache contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques que le foie de l'être humain a du mal à digérer et à saponifier. Le système biliaire se fatigue par une suractivité pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s'y ajouter par l'alimentation. C'est pourquoi lors d'une maladie aiguë ou chronique ( grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d'en venir à la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l'intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif. Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l'être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c'est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou bien végétale. |
http://spasmofinie.org/lait.html
Quand au "lait" de soja ou ses dérives ce n'est pas mieux | |